Trois contributrices et un contributeur à la rubrique poétique du Nouveau Messager ouvrent leurs carnets et autres bouts de papiers
Dans sa jeunesse, Jeannine Brunner était du genre timide. « C’est sans doute pour ça que je me suis lancée dans l’écriture », sourit celle qui écrivait beaucoup de poésie dans son adolescence. « Ensuite, j’ai laissé ça de côté pendant des années. C’est revenu avec la naissance de mon fils. » Elle écrit pour elle-même, sur ses émotions, ses ressentis. « Les choses que vous ne pouvez pas dire parfois. » Sollicitée un temps pour écrire dans le bulletin communal, puis dans le bulletin paroissial, cette habitante de Niedersoultzbach de 69 ans a commencé à envoyer des textes au Nouveau messager dès son changement de formule et l’apparition de la page Pour respirer. « Quand il y a une photo, je suis toujours un peu plus inspirée. Cela me vient plus facilement, détaille-t-elle. Même si certaines rendent l’écriture plus simple que d’autres. » À réception du m...
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