Les ouvrages anglophones ou francophones qui me permettent d’approfondir mes racines créoles ou ceux de peuples en souffrances et au pouvoir créatif profond m’attirent. Des auteurs caribéens, comme la Guadeloupéenne Maryse Condé ou le Haïtien Lyonel Trouillot, ou même africains. Je m’offre un quart d’heure de lecture deux à trois fois par semaine, chez moi, à une table ou dans mon canapé. J’aime aussi écouter des livres audios pour me laisser porter par le narrateur. J’utilise ce support pour apprendre des langues étrangères. Je projette d’ailleurs d’écouter des livres en même temps que de les lire en version papier et ainsi de découvrir un jour Cervantès en original. Je lis partout, dans le bus, le tramway ou l’avion. Le week-end, je prends un temps en extérieur, dans un café ou après une promenade sur un banc quand la météo le permet. J’y trouve une portée méditative et relaxante particulière. J’y vois aussi une dimension sociale. Quelqu’un peut m’interpeller. Partager et échanger su...
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